Voici venu le solstice d’hiver. L’une des fêtes à l’origine de nombreuses autres, religieuses ou non. Les racines de la plupart (pour ne pas dire de la majorité) de nos fêtes les plus anciennes prennent toutes racines dans les festivités liées au cycle des saisons et cela est vrai à toutes les époques, dans toutes les cultures, toutes les religions, sous tous les régimes et pour toutes les fêtes populaires en relation avec la nature. Et ces festivités anciennes sont toujours là, elles sont toujours restées en coulisses, combattues mais pas vaincues, parce qu’issu de l’observation, du vécu, de l’essentiel. Et elles reprennent de la vigueur. On le remarque, depuis quelques décennies, notamment à travers l’évolution des décorations lors de toutes les fêtes qui ponctuent la fin de l’année.
II est aussi notable que dans le domaine artistique, les fêtes anciennes sont des muses très actives qui engendrent des oeuvres de qualité aux multiples facettes
Le solstice, c’est le retour de la lumière avec les jours qui rallongent d’un saut de puce, espoir dans le retour des « beaux jours », de l’abondance, de la chaleur… car mère nature ne renonce jamais, elle résiste toujours à l’obscurité et à la peur du lendemain…parce qu’il y aura toujours un printemps…
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